C'est un lit parfaitement triangulaire. Elle du côté A-B, moi du côté C-B, chacun sa place, chacun sa nuit, ce qui fait que nous nous endormons en V. C'est à la pointe du V, -donc au niveau du B-, que nos pieds se bousculent... quoique les miens, plus grands, débordent largement du lit: position inconfortable qui n'en finit pas de déformer mon corps. Dommage... ses pieds sont chauds là-bas, pliés sous les genoux. Au milieu du lit, parfaitement triangulaire, dans l'espace vacant, nous avons planté un cerisier. Il y a fort longtemps. Le chat y grimpe parfois pour surprendre les volatiles qui suivent les avions, à la vitesse de la lumière des rêves.
j'adore ça!!!
RépondreSupprimerCa me fait d'autant plus plaisir que tu dises ça, car en le postant sur mon blog, hier soir, ce texte, j'ai pensé à te le dédicacer, je te jure, c'est véridique, j'ai songé à ton écriture à ton univers intime qui me "parle" -je revenais effectivement de lire de bien beaux textes, de la bien belle poésie sur ton blog etc iste- et puis je me suis ravisé (par pudeur? par timidité? par peur de me tromper? par, par, ?).
RépondreSupprimerEt comme le dirait Co Errante: voilà qui sera dit.
That's all, folk ! ;-))
m'en vla fort honoré ami mitchum!!!
RépondreSupprimerritchum pardon
RépondreSupprimer