Ces mots qui taisent
l'essentiel
ces gestes qu'on fait
péniblement
sans grâce
et les fenêtres qu'on n'ouvre
plus souvent
mais impossible de savoir
ce qui cloche
vraiment
On l'a de toute façon
l'air qu'il nous manque
Il est bien quelque part, non?
en espérant qu'un jour
on s'en souvienne
Pour quitter les bordures
Pour la vie en plein coeur
Y'a que du bon, ici et là... et partout d'un seul coup !
RépondreSupprimerJe digère...
entre parenthèses - parce que je sais pas où écrire mon grand plaisir d'écouter Félix (Hubert:) )- surtout : "je t'en remets au vent"
RépondreSupprimer"la tristesse est la seule promesse que la vie tient toujours" :)
Digère, Co, digère, j'entends déjà tes gargouillis ;-))
RépondreSupprimerOui, Idothée, Thiéfaine est un GRAND ! Je l'ai vu une seule fois en concert (en 2006) mais ce fut un bon souvenir.
Thierry,
RépondreSupprimerSi tu as d'autres textes dans le même genre, pense à Microbe.
Éric
Je penserai à Microbes, Eric, promis ;-))
RépondreSupprimerje ne connaissais pas ce texte.il est très emouvant.surtout qd tu parles des non dits des fenetres que l'on laisse fermées...
RépondreSupprimerà quand le retour de notre cher Mobert?il me manque tellement!
très beau texte relu avec délectation...l'air qui nous manque car on peut se sentir oppressé. Le final est tout simplement top "Pour quitter les bordures
RépondreSupprimerPour la vie en plein coeur"