Dans le salon, je passe l'aspirateur et il aspire tellement bien qu'il engloutit tout net le canapé, la table basse, l'armoire à vaisselle et si je l'avais laissé faire, il aurait avalé aussi ma femme, ma fille, qui hurlaient, l'immeuble entier, peut-être. Il m'a foutu la frousse, je l'arrête donc, je le débranche, par précaution. Remisé au placard, je l'entends gargouiller et émettre un rot, un énorme rot, un bruit d'outre-tombe à faire pâlir d'envie les kamikazes.
En espérant qu'il ne se déchenche pas tout seul, nous nous tenons sur nos gardes, désormais.
Et là aussi, Sternberg, idem.
RépondreSupprimerSans déc'?
RépondreSupprimerBah remerci, Co.
Tu es un ange ou bien ? ;-))
dis donc t'arrives à trouver ton inspiration même dans le menage que nous avons fait jdui!chapeau Mobert!
RépondreSupprimerBen ouais, j'ai passé l'aspirateur et hop, j'ai eu envie de rendre hommage à l'aspirateur ;-))
RépondreSupprimerBises dada.
Le rot : mdr.
RépondreSupprimerLe rot, c'est la vie, la digestion, c'est la bonne santé.
RépondreSupprimerLe pet, plus coquin, est nettement moins bien vu. Dommage car il y a toute une histoire du pet à écrire ;-))