à peine avait-il baisé sa femme
qu'il en redemandait encore
et encore
à la retenir entre ses bras puissants
toujours à lui sucer les seins
à lui fourrer la bouche de sa salive
à lui mettre un doigt
devant derrière
toujours la trique
toujours la queue
en expansion
dans l'univers clos de
la chambre
& toujours cette idée
qu'elle finirait bien
par lui trancher le sexe
avec un sabre japonais
pour en finir une bonne
fois
pour toutes.
8 commentaires:
C'est le même personnage que celui du billet précédent à une période antérieure ?
;-))
nan, je ne pense pas.
J'aime beaucoup. Oui, il faut parfois des solutions radicales pour mettre fin aux bonnes choses.
Oui, sinon, ça dure, ça traîne en longueur, ça finit en eau de boudin, alors que là, clac, le débat est tranché net ;-))
Merci Eric.
t'es en manque Mobert ou c'est juste un petit délire littéraire comme tu sais si bien le faire?
On verra bien ce soir ;-))
Je m'affûte ;-))
Le sabre japonais... Pfiou, faut d'abord le trouver !
C'est vrai mais l'évènement mérite bien de chercher un bel objet, tout de même ;-))
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