allongé à côté d'elle dans le lit
depuis quelques minutes
il se penche
essuie
caresse son visage
trempé de sueur
et de fièvre
l'embrasse
lui glisse un petit mot
à l'oreille
...
De la monotonie des jours
nous n'avons pas tiré
grand-chose tant qu'elle semblait
devoir vaincre
à jamais
le solde de nos
appréhensions et nous éteindre
à nous-mêmes et nous éteindre...
Ce n'est plus le cas
je pense
2 commentaires:
texte trés personnel qui ne peut bien sur que me toucher!
merci Mobert pour la simplicité de tes mots tt en apportant un concentré d'émotions!
à quand la publication d'un recueil?je t'encourage à continuer sur cette voie car tu es vraiment doué.
tu n'es pas objective pour un sou, dada.
on va croire que je t'ai embauchée pour me foutre tout plein de super commentaires ;-))
Enregistrer un commentaire