j'ai voulu parler
de celle qui pleurait
j'ai voulu te parler
et tu pleurais silencieusement
mais mes yeux fatigués
mais mon corps fatigué
n'ont pas supporté
et tout est fatigué
de tout ce qui est lourd
je n'ai pas su porter
ton chagrin
je n'ai pas su parler
de celle qui pleurait
à celle que j'aimais
3 commentaires:
tu sais parfois il est inutile de parler...un regard une caresse suffit à apaiser le chagrin!
pkoi sommes nous liés dans le malheur?parfois j'aimerai que nous partagions une certaine joie de vivre sans voir le monde en noir...je me sens de plus en plus détachée de ce que lon appelle plus communément la depression.j'ai envie de voir la vie du bon coté.et je crois que l'on peut aussi écrire de trés belles choses sans pourtant se torturer l'ame de pensées morbides.qu'est ce que tu en dis?
c'est un défi que tu me lances?
Je n'écris pas que des textes sombres et noirs quand même. J'écris tout plein de petites choses sans importance et légères, pour le fun, juste pour le fun... et puis, c'est un blog, ma dada, c'est pas un endroit très littéraire par ici ;-))
ah si pour moi ton blog est un summum de la littérature ;-))))
d'ailleurs j'y viens histoire de cultiver un peu mon esprit et ne pas me zombifier sous l'effet devastateur du boulot!!!
c'est vrai aussi que tu écris aussi des choses légères!bref vive Mobert Ritchum!d'autant plus que j'ai le privilège de partager sa vie!
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