Je vais
tracer une ligne
horizontale
une ligne
imaginaire
entre les hauts et
les bas de la vie
m'y tenir
le plus longuement
possible:
les mains fermement
accrochées dessus,
le corps tournant
sur lui-même
comme un gymnaste
improvisé
au dessus des vides.
Celui du haut.
Comme celui du bas.
4 commentaires:
oui il faut s'accrocher à la vie coute que coute malgré vents et marées...tempêtes et neige surtout par ce froid glacial!!
tel un agile gymnaste ;-)))
Et je suis nul en gym, ça tombe bien ;-))
je trouve ça très joliment dit !
thank's !
Enregistrer un commentaire