Quand elle a lu mon poème elle a marqué un temps d'hésitation puis m'a demandé si je parlais bien d'elle & moi et si c'était toujours ainsi dans mes poèmes parce que dans la vie m'a t'elle dit elle trouvait que ça ne ressemblait pas vraiment à ça.
5 commentaires:
dada
a dit…
comment ne pas laisser de commentaire sur ce texte...c'est vrai que je me demande souvent où s'arretent la réalité l'autobiographie et où commence l'imaginaire et le style d'un écrivain pure race ;-)))
Oui, cela doit être l'impression laissée par un poème dont on est l'objet. D'où le relatif échec de nos poèmes dédiés aux autres et aux "filles" en particulier.
J'ai écrit une petite histoire sur le sujet : où commence et où s'arrête la part autobiographique. Ça se termine par cette phrase de "l'auteur" : "Heureusement que je n'ai jamais écrit un truc de zoophilie à la première personne du singulier."
5 commentaires:
comment ne pas laisser de commentaire sur ce texte...c'est vrai que je me demande souvent où s'arretent la réalité l'autobiographie et où commence l'imaginaire et le style d'un écrivain pure race ;-)))
Il n'y a pas de limites... serais-je tentée de penser.
Oui, cela doit être l'impression laissée par un poème dont on est l'objet. D'où le relatif échec de nos poèmes dédiés aux autres et aux "filles" en particulier.
J'ai écrit une petite histoire sur le sujet : où commence et où s'arrête la part autobiographique. Ça se termine par cette phrase de "l'auteur" : "Heureusement que je n'ai jamais écrit un truc de zoophilie à la première personne du singulier."
J'aime bien vos interventions. C'est vivifiant.
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