on ne veut pas décevoir
ce qui même compte pour rien.
tout cela est très mortifiant.
et cette liberté dont tu parles
est un fantasme mais pas sûr.
je ne suis pas tout comme toi.
je suis cérébral, peu viscéral,
j’ai l'introspection.
ma racine y croît,
arbre d’en bas d’où je pends.
je peux dire que mon infidélité est là.
je délaisse la chair. je pense je l’ôte.
c'est pas nouveau.
je suis comme ça. la passion ? trois années.
chaque seconde brûlait.
avant je n'avais rien d’ouvert.
tout cela est très mortifiant.
et cette liberté dont tu parles
est un fantasme mais pas sûr.
je ne suis pas tout comme toi.
je suis cérébral, peu viscéral,
j’ai l'introspection.
ma racine y croît,
arbre d’en bas d’où je pends.
je peux dire que mon infidélité est là.
je délaisse la chair. je pense je l’ôte.
c'est pas nouveau.
je suis comme ça. la passion ? trois années.
chaque seconde brûlait.
avant je n'avais rien d’ouvert.
et j’y suis entré, et j'ai refermé.
Le blog de Stéphane : http://unemainestaussiunpoing.blogspot.fr/
Au passage, merci à Murièle (L'Oeil Bande) de m'avoir fait découvrir ce superbe poème, via facebook ;-)
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