6 mai 2012

cet avion
descendant du ciel
donne l'impression de
tourner en rond
quelque instants
le kérozène
à son cul
avant de s'effilocher
complètement
laisse
une empreinte
blanchâtre
qui se confond parfois
avec les nuages
coiffant
les hautes tours
du quartier
d'une plume de cabaret
légère et
fuyante

2 commentaires:

Murièle Modély a dit…

joli :)
contente de relire mobert

Thierry Roquet a dit…

Thank's Mu !
Au fait : beaucoup, beaucoup aimé ton texte dans l'Autobus 7. Extra !