18 févr. 2008

Ca porte bonheur, paraît-il

Il a marché
dans une grosse
merde
une merde
de chien
du pied gauche qui plus est
La merde
était tellement liquide
qu'il a glissé dessus
à la renverse
il s'est vautré
le crâne
en plein
sur le tranchant
d'un sabre
Celui
d'un samourai
qui n'avait rien
à foutre ici
Tant pis.

1 commentaire:

Marlene a dit…

Ah le con !
;-)
Du burlesque tres visuel, comme j'aime !