16 janv. 2010

Version brûlée au chalumeau

Le jour n'est pas encore levé sur les hautes tours ombres grand-guignolesques elle se dirige vers chez elle à pas feutrés c'est pourtant là qu'on finira bien assez tôt par lui trouver une autre piaule pour la nuit éternelle maculée de sexe de coups et de gorges tranchées.

9 commentaires:

dada a dit…

là c'est carrement condensé au maximum...et la chute!si j'ai bien compris on la retrouve morte c'est ça?

si oui oulala!j'adore!

co errante a dit…

dada... Sadique !
;-)

dada a dit…

ça fait 4 jours que je n'ai rien à me mettre sous la dent! syndrome de la page blanche?ou peur de publier un mauvais texte que tu aurais en brouillon?

un texte ou je me meurs ;-)))

Mû a dit…

Tu sèches ?

co errante a dit…

Mobert, t'es où ?
Mû et moi, on te cherche.
On pouffe moins, forcément.

Mû a dit…

Reviens ou je vire kamikaze !

Thierry Roquet a dit…

Alors Mu, t'as fait exploser quoi? ;-))

Co, i'm here. J'étais coincé dans les toilettes du solstice d'hiver ;-))

Dada, oui c'est condensé mais pas encore au maximum. L'idéal serait un texte sans mot ;-))

Mû a dit…

Je pensais à une version de moi-même imbibée d'essence, enflammée avec un chalumeau.

Thierry Roquet a dit…

ca doit rendre beau dans la nuit fraiche !! ;-))